美丽人妻无套中出中文字幕,亚洲图欧洲图自拍另类高清,免费一级欧美片片线观看,亚洲图片自偷欧美激情

Dernière mise à jour à 08h49 le 02/05

Page d'accueil>>International

Duel par meetings interposés entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen

Xinhua | 02.05.2017 08h47

Les deux candidats du second tour de l'élection présidentielle fran?aise, Emmanuel Macron (En Marche!) et Marine Le Pen (Front National), se sont affrontés par meetings interposés ce lundi à Paris.

Marine Le Pen a débuté un meeting au parc des Expositions de Villepinte (Seine-Saint-Denis) à la mi-journée, s'en prenant de fa?on virulente à son adversaire, détournant une phrase célèbre de Fran?ois Hollande lors de sa campagne en 2012 : "aujourd'hui, l'adversaire du peuple fran?ais, c'est toujours le monde de la finance. Cette fois, il a un nom, il a un visage, il a un parti, et il présente sa candidature et tous rêvent de le voir élu : il s'appelle Emmanuel Macron" a-t-elle déclaré.

"Je suis la candidate de la France qui se lève t?t, de celle qui refuse l'insensibilité du monde de l'argent (...) je vous appelle à faire barrage à la finance, à l'arrogance, à l'argent roi" a ajouté Marine Le Pen.

Alors qu'elle a déjà annoncé que Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) rallié au Front National dans l'entre deux tours, serait son Premier ministre si elle était élue; la candidat d'extrême-droite a appelé son adversaire à en faire de même : "mon adversaire n'ose pas dire qui il nommera. Sans doute pour ne pas effrayer les Fran?ais (...) Je lui demande de dire la vérité et de dire à quelle sauce il veut manger les Fran?ais" a-t-elle affirmé.

Le candidat d'En Marche! a tenu un meeting en début d'après-midi à la salle de la Villette à Paris, déclarant que "le Front National c'est le parti de l'anti-France". "Jamais je n'accepterai la division du pays. Jamais je n'accepterai que les Fran?ais qui croient en l'islam soient insultés parce qu'ils croient en l'islam. Jamais je n'accepterai que d'autres religions soient insultées non plus" a-t-il déclaré.

Emmanuel Macron a demandé à ses militants de ne pas "siffler" Marine Le Pen mais "de la combattre". "Madame Le Pen a dit avec sa grossièreté habituelle : "c'est en marche où crève", elle a raison, En Marche!, c'est nous!" a-t-il indiqué. Le candidat d'En Marche! s'en est pris à l'euroscepticisme de son adversaire, déclarant que "ce qu'il propose, c'est l'effondrement de ce qui a fait la France. Dans son programme, elle annonce la sortie de l'euro, ce sera l'appauvrissement de tous les Fran?ais qui ont de l'épargne, de tous les salariés et des retraités" a indiqué Emmanuel Macron.

"Nous aurons le franc le matin et l'euro l'après-midi" a-t-il ironisé, répondant à la déclaration de Nicolas Dupont-Aignan plaidant pour une "monnaie commune". S'adressant à Jean-Luc Mélenchon (France Insoumise) qui lui demandait de retirer sa réforme sur le droit du travail : "je ne le ferai pas" a déclaré Emmanuel Macron.

La ministre fran?aise de l'Ecologie, Ségolène Royal, était présente au meeting : "la république nouvelle, ce sera celle de l'industrie, du numérique et de l'écologie réconciliés. Car, oui, il y a une nouvelle écologie qui se conjugue avec une nouvelle économie. Chère Ségolène, tu le sais bien" lui a adressé le candidat d'En Marche!.

Il a insisté sur l'importance du travail dans son programme : "notre projet se fonde sur le travail parce qu' il n'y a d'émancipation que par et pour le travail" a-t-il dit. Emmanuel Macron a également affirmé vouloir "moraliser la vie politique" : "nous le ferons dès les prochaines semaines, par un projet qui sera rapidement déposé devant le conseil des ministres. Pour en finir avec ces pratiques d'un autre age, qui caractérisent le Front National depuis tant et tant d'années" a-t-il indiqué.

Candidat pro-européen, il a affirmé : "nous ne changerons l'Europe que si nous sommes forts nous-mêmes, si nous sommes crédibles, ceux qui vous promettent de changer l'Europe dans leur coin vous mentent !". "La république nouvelle, c'est l'Europe, le retour de la France dans la course en tête pour une Europe forte, enfin démocratique, enfin puissante, enfin respectée, c'est cela que nous voulons aussi" a-t-il souligné.

"Le 7 mai prochain se décideront non pas les cinq prochaines années mais probablement les prochaines décennies de notre pays" a estimé Emmanuel Macron.

(Rédacteurs :Qian HE, Guangqi CUI)
Partez cet article sur :
  • Votre pseudo
  •     

Conseils de la rédaction :